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12 novembre 2014 3 12 /11 /novembre /2014 09:44

 

 

 

le-carre-des-anges-jean-cerezal-callizo-2014.jpg

 

 

 

Le Carré Des Anges

est une histoire  de vivre ensemble

 

à minima

 

d'avoir des parents

 d'être un enfant

 

Nous en sommes tous !

 

 

là 

 

être un être 

 

un être relié à l'existence entière

 

 

Nous évoluons, centré, traversé,

avec bien des consciences et des circonstances 

antérieures qui nous accompagnent comme des 

greffes en notre corps qui pourtant se "recompose"

(se régénère pour parties, cycliquement, (?))

( nous en sommes là, aussi ;)

 en chaque instant dans un processus "recréatif "

évolutif

 

 

En rangeant mes affaires de ces 3 années de résidences

et de vie, j'ai trouvé un papier sur lequel j'avais recopié

ces mots de Viktor Frankel

 

"Nous qui avons connu les camps de concentration, 

nous nous rappelons de ces hommes qui allaient d'un 

baraquement à l'autre pour réconforter les autres,

distribuant leurs derniers morceaux de pain.

Ils étaient peu mais suffisament nombreux pour

prouver qu'on peut tout enlever à un homme sauf

une chose, 

 

la dernière des libertés humaines,

 

 

le choix de son comportement en toute circonstance."

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28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 01:02

Jean-Cerezal-Callizo-20140910_181720.jpg

 

Et pourtant nous nous aimons

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26 octobre 2014 7 26 /10 /octobre /2014 20:26

Jean-Cerezal-Callizo-20141018_102144-en-allant-aux-champign.jpg

 

Nous allons, concentrés sur nos vies respectives, en même temps que tout ce dans lequel nous allons va aussi

 

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19 octobre 2014 7 19 /10 /octobre /2014 19:53

Tout commence toujours par la fin

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11 juin 2014 3 11 /06 /juin /2014 19:38

je ne peux prédire demain car je viens d'une forme inaboutie qui cherche à se "reproduire" tout autant qu'elle est confrontée  sans cesse à la question de son évolution.

 

demain, c'est pas encore.... mais c'est déjà maintenant. La maintenance de l'existant nous ralentit. 

 

LA RACINE

 

 

       LE CERVEAU

 

 

                             LE MENTAL 

 

 

 

des conceptualisations basées sur des observations plus ou moins expérimentées de l'avenir immédiat.

 

 

 

                      NOUS SOMMES PARTIE DE TOUT

 

 

 

 

dans sa durée ;

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

il semble qu'elle soit... "sans fin

 

d'ailleurs peu importe cette question de la fin puisque nous en venons dans la forme expérimentale et mutagène qui à un moment constinue ce que nous sommes en apparences et pour un temps donné sans aucun doute dans l'échelle de l'évolution selon notre conceptualisation : des êtres humains.

 

 

 

La question d'une communion-cation avec l'au delà parait évidente

 

 

      bien que l'au delà soit un concept admis principalement entre des capacités à même de nous situer entre la vie la mort et sa question ;)

 

 

le silence urbain dans une petite ville rurale (Issoire) après une fracassante pluie d'orage, ou tout du moins l'intensité différente de ma perception des sons et des sensations tout autant que la nature en général met du temps à trouver le nouveau souffle de sa résurection me rappelle que je suis dans ma maison et que si j'étais dehors il y a quelques poignées de minutes, je n'en aurai pas mené large

 

 

la vie telle que nous "la connaissons" est fragile

 

    l'autre est monumentale pour ne pas dire infnie

 

 

"le programme de "notre évolution semble vérolé au fur et à mesure que nous apprenons les racines de notre mental dans ce cerveau qui, au final,  n'attend que Nous : )

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 23:52

est un état d'esprit, une manière non pas seulement d'envisager, mais de se donner entier ou entière à la Vie, ou pas, ou pas forcément, ou pas tout à fait

 

ÊTRE

 

 

 

Être Amour me semble à minima le minimum et le maximum que nous faisions, que nous puissions faire

 

 

 

quant au fait que notre incarnation produit des embrions dont nous sommes tout autant qu'ils sont de nous

 

 

 

 

 

 

Le reste, concernant l'Être, ÊTRE,

se confond avec la part sociale de notre existence.

ÊTRE, c'est accepter de ne pas agir autremet que dans une contemplation de ce dont nous sommes à travers ce qui ous entoure, dont celles et ceux

 

 

ÊTRE

 

 

 

      c'est transformer la Vie en ce que et dont nous sommes à travers le filtre orientable et orienté de ce que et dont nous sommes

 

 

c'est la possibilité immense de pouvoir inverser Tout en Autre Chose !

 

le Tout en un TOUT tellement 

 

 

 

 

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27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 21:46

 

Imaginons être sur un fauteuil roulant, électrique illimité s'il vous plait, et que nous ayons les yeux bandés, nous déplaçant dans un espace à priori sans limite car où que nous décidions d'aller, aussi loin qui nous nous obstinions dans cette direction ou dans ce mouvement, nous ne rencontrerons aucun obstacle.

 

Nous sommes dans un espace vide pourvu d'un sol plutôt lisse sur lequel nous nous déplaçons à l'aveugle.

 

 

A l'image de toute chose vivante 

 

 

 

 

 

A l'image de toute chose nous échangeons en permanence à 360° en cercle autour de nous avec tout ce qui nous entoure. Chaque patrie, pardon, partie de notre composition est dans cette interaction tridimensionnelle. Cependant nous concentrons selon des liaisons et des forces qui m'échappent ces interactions en « des centres » d’émissions prioritaires comme des regroupements énergétiques.

Notre support étant en mouvement dans un espace lui même en perpétuel mouvement notre interaction avec « le monde » paraît pouvoir interférer ..

 

à reprendre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 22:21

nOUS ENVISAGER? NON PAS? OU PLUS SEULEMENT ËTRES? 

 

Nous envisager nuages,

 

un coeur, un noyau, un réceptacle peut-être, un ventricule qui absorbe sans cesse une "matière" principale mue dans une fonction organique à même d'être influencée, par la lune, par la proximité d'êtres de notre espèce, par des concours de circonstances, par la position des planètes, par ce qui existe magiquement au delà de notre corpulence, par ce qui a lieu en chaque conscience, par la vie, la vaniteuse conscience de la vie qui nous relierait d'un espace antérieur (dont la principale image serait celle d'une éjaculation interne suivie de la fécondation magique elle aussi ;)) à un espace extérieur  

 

 

 

un coeur, c'est exactement comme une paire de couilles ; je ne sais comment dire d'où tout ce qui le et les remplit provient exactement (au delà de la conscience que je peux en avoir, nourrie des explications scientifiques entremêlées de mes notions empiriques dans un sens au plus large)

 

      ------> ça absorbe ou se remplit de quelque chose, à priori d'une substance composite, qui sera éjaculée ou expulsée sous forme de liquide ! 

 

 

La question de notre sexe en est-elle pour autant éloignée ?     Le sexe de sexe féminin (je n'en ai pas un mais le mien me sert aussi à faire l'amour et à uriner) Le sexe masculin, j'en ai un qui me sert à uriner et à faire l'amour. peut-être à rester en "équilibre"

 

 

 

NOUS ENVISAGER DES NUAGES DANS LE NUAGE DU NUAGE  DE NUAGES COMPOSITES DE LE NUAGE SUPRÊME ?

 

 

Il ne semble pas possible d’établir clairement un rapport entre tout ,mais quand même ! Chacun de nous en plusieurs temps de sa vie, se retrouve, dans des prises de consciences dont il est envisageable qu'elles soient la manifestation de ce auquel nous sommes confrontés dont nous-même, soumis bombardés, effleurés, caressés, titillés, démembrés, désarticulés, ouverts, écarquillés, reproducteurs, réceptacles orgasmiques d'une entité échangiste dont l'évolution n'a de cesse d'évoluer dans, sans que j'en connaisse quoi que ce soit, ce que je pourrai qualifier d'éternel...

 

 

Puisqu'il ne semble n'y avoir ni début ni fin

 

 

 

 

 

 

 

Ce là dit, si nous cherchons un début et une fin, nous allons la et les trouver !!!!

 

 

 

Ce là dit, si nous vivons là, sans conscience de début ou de fin mais d'expérience, (s'il fallait un mot pour me rassurer ;) en Paix avec nous même dont avec ce dont nous "héritons", alors,

 

 

 

Là,                                        ce Nous évidemment sera empreint de ce qui est, 

 

 

 

un sens de penser de la vie

un sens de vivre

 

 

 

 

 

 

                                                       

 




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9 février 2014 7 09 /02 /février /2014 15:09

3, 5, 7, 15, 10 et 11 ans, 23 etc... depuis 1967, 46 !
notre corps se régénère en chaque instant

 

 

1967--jean-Cerezal-Callizo

 

 

 

 

       Cela signifierait que nous vivons, de notre naissance à notre mort, une entité évolutive pour ne pas dire... usurpée - à même de nous signifier, pour nous comme pour celles et ceux qui nous « connaissent » - alors qu'en chaque instant nous – moi, mais aussi toi nous, lui, elle, elles, eux, ça, ce etc...- est sommes différents.

 

  • NOUS est différent en chaque instant -

 

NOUS ne peut qu’être 1

 

 

QUOI QUE NOUS VIVIONS, QUOI QUE NOUS PENSIONS, DANS UN MILLIARD D'ANNEES, CETTE VITRE (OU AUTRE CHOSE) QUI TE PROTEGE DU FROID , DU VENT COMME DE LA PLUIE, VOIRE DU BRUIT, DES MICROBES ETC... SERA TELLEMENT DESINTEGREE ET NOUS AUSSI QUE LES MATIERES QUI NOUS COMPOSENT - DISLOQUEES DES CHAMPS D'ENERGIES QUI NOUS RELIENT AUX FORMES ET ETATS « PERMANENTS » DONT NOUS AVONS ET TRANSMETTONS LA CULTURE IMAGINAIRE -

S'INTERPENETRENT CONSTAMMENT.

 

 

 

Cette « perception », basée sur les preuves scientifiques de dégénérescence et de régénérescence cellulaires de ce qui nous compose comme de ce qui compose TOUT – dont ce qui nous « entoure » - remettrait en cause toute existence identitaire puisque le vivant, jusqu'à la notion de dieu même, considéré du point du vue de cet « échange » et « transformation » permanents, se « ré-arrange » sans « discontinuité ».

 

L'année dernière, à Montmorillon et sur le sujet du carré des anges, Pascal m'a dit en me laissant une photographie de lui enfant, « mais qui est cet enfant ? …. que je ne suis plus...»

 

Je crois que nous avons blagué, ou ri, en tout cas ça c'est bien passé;) Mais les faits sont là, dans ce devenir « permanent (?) » du vivant.

 

De la photographie de moi enfant sur le dé à coudre, je peux dire que là c'est moi quand je suis enfant ou quand j'étais enfant, parce que j'ai une conscience du continuum de ma Vie « formée » Jean... , et je pourrais tout autant capturer une image de moi aujourd'hui pour attester d'une identité actualisée de mon entité tout autant remarquable.... mais les autres, le reste, l'air qui sort de ma bouche, celui qui entre et sort de tes poumons, nous voyons bien autour de nous ce qui se passe. Rien n'est jamais pareil et pourtant, nous concevons une logique.

 

Nous continuons d'être ce que nous sommes, de ce que nous sommes puisqu'il a été ainsi, et qu'il continue d'être, les racines de notre existence s'y abreuvent. Les mots se perdent et nous aliènent au fait culturel de notre « entité » Se relier à « dieu n'est pas mauvais, je pense;)

 

 

 

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29 janvier 2014 3 29 /01 /janvier /2014 20:30

je veux rassembler l'humanité entière dans un projet de Vie, par un geste artistique, dans lequel chacun peut trouver sa place dans une relation avec soi come avec les autres, pacifique.

 

s'accepter soi,   comme accepter les autres

 

nous arrivons tous avec ce que nous sommes dont bien des choses dépassent le rationalisme dans lequel nous pensons être.

 

 

je lisai aujourd'hui dans un ouvrage artistique de 1982 publié chez marval sous le nom de Zup ! la mémoire d'habitants de Villeneuve-Les-Salines... l'une de ces personnes parlait de la guerre en disant que c'était la guerre qu'elle voulait le moins comme avenir. pour elle comme pour les autres. qu'elle aspire au bonheur et à l'expression de ce bonheur et de la joie de vivre, comme de pouvoir vivre de la part de toutes celles et ceux qui partagent sa vie contemporaine, d'être heureux, que les autres soient heureux, et qu'elle le soit avec...

 

 

 

(ce n'est pas facile)

 

 

La guerre que nous avons, que nous pouvons rencontrer parfois, avec nous, en nous, à cause de nous, malgré nous, inconsciemment  ou non, avec celles et ceux qui nous entourent, dont nous partageons la vie directement ou de tellement loin que nous n'y pensons pas vraiment..., de l'affect à l'éloignement en passant par la proximité, cette "guerre" passe par Nous que nous voulions qu'elle existe ou non, puisque nous échangeons avec nous-même

 

 

 

Nous sommes un rêve, nous pouvons être un rêve, nous sommes ce qui semble être un rêve et de ce que semble être un rêve, que l'on puisse l'appeler rêve ou cauchemard,     réalité

 

 

 

  ce rêve est la Vie

 

 

 

 

 

       la paix dans cette Vie est un rêve et s'il n'est pas aisé d'être en conformité "permanente" avec ce rêve en ou pour soi, car nous portons en nous bien des vécus antérieurs, du moins nous pouvons donner vie à cette vie corps âme esprit souffle coeur chair etc en la Vie,

 

en l'accompagnant de la nôtre , ne serait-ce que vis à vis  des autres, par respect pour l'autre (dans un sens au plus large, car nous venons à lui, de lui, avec lui, en lui, et par lui dans une interpénétration totale

 

 

   l'enfant du carré des anges, l'enfant dans le carré des anges, est celui que nous sommes, que nous acceptons d'être, autant que celui que nous acceptons être, en le reconnaissant,       Nous accompagner, non pas ou plus dans la guerre, mais dans la Paix 

 

 

 

 

 

 

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